CCAS

Journée de solidarité

La loi du 30 juin 2004, instaure une « Journée de Solidarité » en vue d’assurer le financement des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées. Le principe de base consiste à une  journée de travail supplémentaire en principe non rémunérée. A la CCAS, les agents ne subissent pas de perte de salaire mais donnent au profit de la journée solidarité le jour de leur choix tout en venant travailler :

  • 1 jour de RTT,
  • 1 jour de repos compensateur,
  • 1 jour de congé annuel,
  • 1 jour de congé ancienneté,
  •  1 journée de fête locale,
  • 1 jour de congé supplémentaire cadre.

 

Durant cette journée de travail, l’agent donne l’un des jours mentionnés ci-dessus et transmet à son responsable une liasse d’absence pour spécifier sa journée solidarité.

 

A la demande des agents et en accord avec la hiérarchie, cette journée pourra être accomplie en travaillant un jour habituellement non travaillé (JNT) pour les agents en bénéficiant.

La journée solidarité, quelle que soit la forme choisie par le salarié pour s’en acquitter, devra être accomplie au cours de l’année civile. A défaut, 7h de congés annuels seront automatiquement déduites du solde de congés.