CCAS

Sébastien Wittmann

Assistant Prévention Sécurité

Si tu étais ...

Un sport ?

Le ski

Un emoji ?

Une chanson ?

« Paris- by Night » de Bénabar, pour faire la fête.

Parles-nous de ton parcours professionnel avant et au sein des Activités Sociales.

J’ai obtenu un CAP de cuisine en 1986 puis je suis parti quelques années faire des saisons sur la côte d’Azur l’été puis dans les Alpes et en Suisse l’hiver. Je découvre la CCAS grâce à un voisin qui me propose un CDD de quelques mois à la centrale de Fessenheim. En 1997, j’obtiens un poste de cuisinier puis de second de cuisine à la maison familiale de Kaysersberg. En 2001, je retourne à l’Ecole hôtelière de Guebwiller pour y passer un Bac Pro en hôtellerie restauration que j’obtiens en juin 2002. En septembre 2002, je réintègre la cuisine du restaurant CCAS de Fessenheim. En 2010, lors de la mise en place des territoires, je quitte la cuisine de Fessenheim et je rejoins l’équipe de proximité de la CMCAS de Mulhouse en tant que TAC/ TCP. Après 10 ans passés à la proximité, je décide de sauter le pas et changer à nouveau de métier en intégrant l’équipe Prévention Sécurité de la plaque. 

Assistant Prévention Sécurité, ça consiste en quoi ?

La prévention…. C’est un couteau suisse ! Il y a plusieurs métiers en un ! Après une année entière je commence à bien cerner le rôle de l’assistant de prévention.

Principalement, c’est être garant des conditions de travail du personnel, quel que soit le statut. Il faut être à l’écoute, avoir le sens de l’observation et de l’analyse. Les dossiers DACM et l’accueil sécurité, les analyses d’accidents du travail, les aménagements de poste et le handicap, les commandes d’EPI, les formations liées à la prévention, l’évaluation des risques identifiés dans les Documents Uniques et la collaboration avec le CSSCT ne sont que quelques exemples de mes attributions.

En parallèle, il faut être attentif à l’application des différents accords de notre organisme, participer à la construction du programme de prévention avec la responsable, s’informer au quotidien de l’évolution de la réglementation.

Et pour finir, travailler en collaboration avec la mission prévention du national sur les tableaux de bord de suivi de l’accidentologie, de l’amiante, du radon, des D.U et des bilans annuels.

Quelle est l’action de prévention qui te tient le plus à cœur ?

La rencontre avec les DACM et les animateurs lors des accueils sécurités. Ce sont toujours des rencontres sympas.

Le moment le plus marquant de ton aventure CCAS ?

Le moment le plus marquant fut à mes début, je découvrais la CCAS je n’avais travaillé que dans de petites entreprises mais jamais dans une entreprise si grande et surtout ce qui m’a surpris au début, c’était le tutoiement à tous les niveaux de hiérarchie et le fait de se faire la bise tous les matins en arrivant au travail.

Le plus grand challenge que tu as rencontré depuis ton arrivée ?

Je pense que mon changement d’orientation professionnelle en 2010 fut pour moi un gros challenge. Après toutes ces années en cuisine, je me retrouvais derrière un bureau, j’avais souvent des fourmis dans les jambes. Et se retrouver devant un ordinateur ne fut pas une mince affaire pour moi mais mes collègues m’ont bien aidé.

L’anecdote la plus drôle que tu as vécu dans les Activités Sociales ?

Lors d’un repas en commun sur le village vacances de Munster, nous avions préparé une choucroute pour les bénéficiaires, et une fois le repas terminé, nous avons tout rangé dans la camionnette pour retourner à Kaysersberg, dans la précipitation, nous avons oublié de refermer la porte latérale de la camionnette. Arrivé à Kaysersberg, ce fut la surprise ! Nous nous sommes aperçus que la camionnette était vide et que nous avions perdu tout le chargement sur la route.

Nous avons fait demi-tour et heureusement nous avons retrouvé notre chargement dans un champ bordant un rond-point, où paissaient des vaches. Chaque fois que je repasse dans ce rond-point j’y repense.

Ta phrase fétiche pour démarrer la journée du bon pied ?

« Il n’y a pas de petits pains aujourd’hui ? »